Bulletin du l’ATIR : février 2018

Bienvenue à ce numéro de février du bulletin d’information destinés aux membres de la communauté de la plateforme d’infonuagique ATIR. Ce mois-ci, nous parlerons de la migration des volumes, obligatoire pour tous les utilisateurs de la plateforme.

L’ATIR est passé à un nouveau modèle de stockage en nuage qui accroîtra la fiabilité du stockage. Le transfert de vos données est indispensable si vous voulez les préserver, ce qu’il nous est impossible de faire sans courir le risque de les altérer, puisque nous sommes les exploitants de l’ATIR.

Pour vous aider dans cette démarche, nous avons conçu une vidéo qui vous guidera dans la migration, étape par étape. Veuillez vous assurer que vos données ont été transférées correctement.

1. Vidéo sur la migration des volumes de données

2. Documentation sur la migration des volumes

Nous avons également rédigé un document expliquant le processus en détail, en complément à la vidéo. Vous le trouverez ici : Fiche technique – Migration entre volumes sur l’ATIR.

3. Avis concernant la sécurité

  • Selon le Centre canadien de réponse aux incidents cybernétiques (CCRIC), plusieurs de nos locataires laissent des ports ouverts, ce qui accroît leur vulnérabilité. Notre propre évaluation indique que le problème résulte d’un relâchement au niveau des règles du pare-feu.Veuillez prendre quelques minutes pour passer ces règles en revue. Toute règle dont le CIDR est 0.0.0.0/0 devrait être remplacée par une autre indiquant une adresse IP précise. Regardez notre vidéo sur les règles de l’ATIR en matière de pare-feu et apprenez-en plus au sujet des vulnérabilités concernées sur le site Web du CCRIC.
  • Nous sommes au courant des problèmes que soulèvent les vulnérabilités Meltdown et Spectre, récemment annoncées.Nous redoublons d’efforts pour résoudre le problème et ses répercussions éventuelles sur l’ATIR.Dès que les fournisseurs diffuseront des correctifs pour leur système d’exploitation, nous vous signalerons ce qu’il faut faire afin que vos instances soient protégées sur la plateforme de l’ATIR.